Eltanin

Pour ma part, nous allons passer de la hanajima maudissant Raphael avec plus de bloom, ainsi que de la signature sans lien aucun, à  un duo issu de Sayonara Zetsubou senseï ; soit Adieu professeur Désespoir en français, une série donnant dans le domaine du grand n'importe quoi.

Je vais laisser une capture d'écran présenter le personnage sur l'avatar:



Quant à  la signature, extraite de l'un des génériques, elle rassemble, de gauche à  droite: une tireuse de queues compulsives qui doit à  sa passion de nombreux bandages, une immigrée clandestine qui donne instantanément envie à  n'importe qui de la protéger, le personnage pré-cité, maniaque ne tolérant pas la moindre irrégularité, le professeur, désespéré chronique, défaitiste constant, et follement suicidaire, son opposé exact, positiviste forcenée croyant que tout ce qui se trouve à  la télé est hors de sa portée, une fille anormalement normale, et une étudiante étrangère à  double personalité, l'une étant le cliché de la japonaise timide et l'autre une fille hargneuse assimilant mal les différences culturelles, et intentant des procès à  tout le monde.



Puis bon, un anime avec des références à  Phoenix Wright ne peut qu'être bon. Prenez la mélancolie d'Haruhi Suzumiya, eh.

Citoyens, devant l'état déplorable de la France en ces heures difficiles, devant l'incurie du pouvoir politique qui ne fait rien pour redresser la barre du navire mais bien au contraire travaille à  ouvrir les sabords, je vous le dis, il faut mettre la Terreur à  l'ordre du jour.


Des gens cultivés comme le sont les Eltanhirs auront sans doutes reconnu dans mon avatar Maximilien Robespierre.
Ma nouvelle signature est un extrait du refrain du Chant du Départ, chant de guerre révolutionnaire que Robespierre préférait à  la Marseillaise - goût partagé par Valéry Giscard d'Estaing - et qui fut l'hymne national du Premier Empire. J'y ai joint un lien vous permettant de l'écouter, magnifiquement interprété par Mireille Mathieu.

Je ne répondrais qu'une chose : 32 cm. A toi d'en tirer les conclusions qui s'imposent.