Eltanin

Eltanin

Learn Humanity
Nous sommes actuellement le 30 Avr 2024, 08:22

Le fuseau horaire est UTC+1 heure [Heure d’été]




Publier un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 39 message(s) ]  Aller vers la page 1, 2, 3  Suivant
Auteur Message
MessagePublié: 01 Mai 2007, 19:03 
Hors-ligne
Supérieur
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 01 Mai 2004, 11:57
Message(s) : 1161
Vu les dérives philosophisantes du topic des élections, je lance ce sujet.

Si l'excès de travail étouffe l'être, son absence pénalise largement son développement. Ceux qui n'ont jamais eu à  lever le petit doigt sont rarement des exemples de "vies réussies", malgré tout le temps libre qu'ils ont pour s'accomplir. Vivre dans l'oisiveté est un art qui n'est pas donné à  tous (dixit Proust).

Dans quel mesure le travail participe t-il à  la construction de l'être - lui permettant, paradoxalement, de faire meilleur usage du temps qui lui reste ?

_________________
Spoiler! :
N'oubliez jamais que vous êtes unique, comme 7 milliards d'autres humains sur Terre.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 02 Mai 2007, 08:36 
Hors-ligne
Ilùvatar
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 18 Déc 2005, 23:29
Message(s) : 1938
Si tu entends par travail activité créatrice qui permet à  l' individu d' utiliser ses facultés intellectuelles et physiques pour " construire " quelque chose, obtenir un résultat, oui le travail peut être libérateur ..... L' artisant, le chercheur, l' ouvrier qui concçoit et fabrique un objet, qui sont un minimum maîtres de l' organisation de leur travail peuvent en être fiers. Ce ne sont que des exemples.

Si tu entends par travail l' abrutissement auquel la plupart des salariés sont soumis dépossédés d' eux mêmes et aliénés , réifiés, alors le travail est déstructurant.

Mais, sur le plan social, travailler constitue incontestablement un facteur d' intégration, de socialisation.

Les chomeurs de longue durée, les personnes en congés longue durée finissent non seulment par se désocialiser mais aussi par se destructurer mentallement.

_________________
Smouales étaient les borogoves


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 02 Mai 2007, 19:34 
Hors-ligne
Carambar hypergolique
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 09 Sep 2004, 00:35
Message(s) : 970
Localisation : La ville des Lumières
Je copie-colle un morceau de message que j'ai écris dans un topic du forum du Royaume de Nosgoth. J'ignore si la coupure sera suffisante pour en enlever le caractère polémique mais c'était le but.
Bref.

Citer:
La plupart des gens ont envie de travailler de faire quelque chose utile et j'en suis. Je n'ai pas dans l'idée qu'il soit sain de passer sa vie à  ne rien faire de productif car faire quelque chose amène à  un sentiment de bien-être, de satisfaction. Travailler c'est gratifiant, c'est pouvoir mettre en oeuvre ses compétences, c'est se dire "putain, ça je sais le faire maintenant, j'en suis capable !" Alors oui, on a pas tout le temps envie de travailler, comme on pas tout le temps envie de jouer, ni de dormir, ni de manger, ni encore de baiser. Mais chacun est un besoin à  satisfaire et nier cela, c'est refuser de voir l'une des facettes de l'humanité, son besoin de participer, de se sentir utile.

_________________
Meaow, c'est pas la même chose que Miaou ! C'est plus pointu, plus exotique ! Certes, c'est un anglicisme, mais... L'anglicisme dans les onomatopées me va ! Yeah !

Raphaël


Ah, glander n'est pas de tout repos !

Kanar


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 02 Mai 2007, 19:56 
Hors-ligne
Il est les ténèbres
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 01 Mai 2005, 12:16
Message(s) : 1448
Localisation : Grenoble
Je partage l'opinion de Morgan Kane sur les deux sens que l'on peut donner au travail.

En revanche, je suis en opposition avec lui et Zohar sur son implication social. Je ne la nie pas ; je ne la considère simplement pas comme naturel, mais comme un impératif implanté par le modèle social capitaliste - moins par souci d'épanouissement humain que pour favoriser son fonctionnemment...

_________________
Il est facile de distinguer les jours où je suis de bonne humeur de ceux où je suis de mauvaise humeur : les premiers, je me définis comme obscurantiste et professe que l'Humanité a désespérément besoin d'être ramenée au niveau technologique d'il y a trois siècles ; les autres, je me définis comme nihiliste et professe que le meilleur avenir auquel l'Humanité puisse aspirer, c'est une extinction sans douleur.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 03 Mai 2007, 20:36 
Hors-ligne
Débutant
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 03 Mai 2007, 20:30
Message(s) : 20
Le travail, même abêtissant à  l'excès et n'octroyant pas la possibilité d'exercer à  foison les aptitudes cérébrales, n'est pas forcément déstructurant et réifiant. Des individus pusillanimes et exempts d'ambitions créatrices peuvent, en dépit du caractère monotone de leur activité, s'épanouir autant professionnellement - le pactole à  chaque fin de mois couplé à  une complaisance de la routine - que socialement, en tisant, de fil en aiguille, des accointances permettant la perennité de leur sociabilité. En outre, il représente, à  la fois, le moyen qui subventionne notre vie et celui qui nous permet de nous sentir vivant, productif et utile, dans la société actuelle. De toute manière, le désoeuvrement, comme l'a évoqué Zohar, est nocif et peut, parfois, découler à  la misanthropie, ce qui est, à  mon sens, destructeur, dans la durée (sans vouloir faire de généralité, bien entendu).

Voilà  mon avis pétri de lacunes - car la philosophie n'est pas mon fort - sur la question :p


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 03 Mai 2007, 21:53 
Hors-ligne
Supérieur
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 01 Mai 2004, 11:57
Message(s) : 1161
"déboucher vers", pas "découler à ".

En effet : le travail, même bête et méchant, peut être structurateur, de par la force physique/mentale qu'il faut acquérir pour le surmonter (la patience, la précision, la dextérité, le recul, la maîtrise des nerfs...). Après tout, le sport aussi est "bête et méchant", tout comme le travail de la mémoire ou des réflexes. La différence, c'est qu'il vous est imposé, et vous pousse à  aller au-delà  (ou vous détruit, c'est selon).

Ceci dit, notre époque assiste à  l'émergence de boulots (exemple-type : caissière) absolument par enrichissant (même en creusant) et 100% destructeurs. A la limite, le comptable acquiert la maîtrise des chiffres, mais la caissière... un endurcissement philosophique face à  une existence merdique, peut-être ?

_________________
Spoiler! :
N'oubliez jamais que vous êtes unique, comme 7 milliards d'autres humains sur Terre.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 04 Mai 2007, 12:40 
Hors-ligne
Leng-Ilestri
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 20 Fév 2007, 22:00
Message(s) : 89
Localisation : Leng
Le billet du sieur Rhaegar est proche de la suréminence et il mérite nos acclamations les plus chaleureuses (à  défaut d'ampoulées). Il convient, cela dit, de le recadrer à  travers le prisme de la raison et de l'expérience pour enfin affirmer que sans travail, il n'y a pas d'humain. La fonction appliquée en mode de survivance élaboré est la charpente de toute société. C'est relativement lié à  mon discours sur l'unicité : le membre dépourvu de destination n'est plus membre, il est exclu et parasite, et tous les jolis masques que l'on pourra appliquer pour celer son ignominie de fait ne forment l'illusion qu'au regard des naïfs. Dépourvu de but, l'être n'est rien, et la conscience ne fait que décupler le poids de cette fonction pour l'être humain. Ainsi l'on parvient à  la nécessité du sacrifice de soi à  la communauté dans l'optique du bien-être.

_________________
Outa-Napishtim : Il existe une plante comme la ronce,
Elle pousse au fond des eaux,
Ses épines te piqueront les mains
À la manière d'une rose,
Et si tes mains arrachent cette plante,
Tu trouveras la vie éternelle.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 04 Mai 2007, 21:09 
Hors-ligne
Carambar hypergolique
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 09 Sep 2004, 00:35
Message(s) : 970
Localisation : La ville des Lumières
Ouiii ! *jouit* c'était bon ! encore !

_________________
Meaow, c'est pas la même chose que Miaou ! C'est plus pointu, plus exotique ! Certes, c'est un anglicisme, mais... L'anglicisme dans les onomatopées me va ! Yeah !

Raphaël


Ah, glander n'est pas de tout repos !

Kanar


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 04 Mai 2007, 21:40 
Hors-ligne
Supérieur
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 01 Mai 2004, 11:57
Message(s) : 1161
Le hic, c'est que peu de choses peuvent peuvent vraiment être considérées comme "concrètes" et "utiles" dans notre société. Du coup, consacrer sa vie à  des futilités artistiques est presque plus *gratifiant* que de bosser dans une entreprises produisant des gadgets aussi nocifs que superflus, afin de permettre aux travailleur surmenés de se délasser (vous voyez le cercle vicieux ?). Je trouve donc que la vision Darlyenne est utopique, ou du moins périmée.

Le travail, c'est avant tout la contrainte quotidienne qui empêche l'individu de s'avachir. Il est impressionnant de voir combien certains, qui ont tout leur temps pour eux, parvienne à  faire moins de choses que ceux qui n'ont pourtant qu'un temps libre limité, après le travail. Voilà  pourquoi je ne peux accepter cette idée d'un monde idyllique où l'on aurait d'autre à  faire que se délasser ou se faire plaisir (cf. sujet du second tour) : quelles loques ne deviendrions-nous pas alors.

_________________
Spoiler! :
N'oubliez jamais que vous êtes unique, comme 7 milliards d'autres humains sur Terre.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 04 Mai 2007, 22:19 
Hors-ligne
Saroumane le Blanc

Inscription : 17 Déc 2005, 22:02
Message(s) : 558
Étrange; Ce débat est aussi à  mettre dans notre réalité historique. Au XIXème siècle, être rentier était une chose plutôt bien vue et même aujourd'hui, l'oisiveté n'est pas vu comme un vice à  partir du moment où elle est pratiquée par des gens riches (et de préférence extravagants). Depuis peu, il semble que l'on tende à  considérer le chômeur comme le symptôme d'une maladie qui gangrènerait notre société puisqu'il manifeste l'échec socio-économique sous-jacent de celle-ci.

A présent, l'approche marxiste suggérée par Morgan est à  considérer plus amplement...

Ensuite, nous sommes une espèce animale sociale, où l'exclusion du groupe est vécue comme une angoisse fondamentale. On pourrait aussi évoquer la notion de travail en l'opposant au rapport magique qu'entretient l'enfant vis à  vis du monde. Le travail est avant tout la condition sine qua non pour être en contact avec le réel (et je n'ai pas écrit la réalité).


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 05 Mai 2007, 20:46 
Hors-ligne
Pamplemousse Panchromatique
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 28 Avr 2004, 01:00
Message(s) : 6475
Localisation : Paris, France.
J'incite chacun à  dédaigner les discours stakhanovisto-totalitaires de Darly.



En tout cas, le travail, c'est pas la santé, la faute à  des environnements professionnels mal surveillés... lisez plutôt...

Article de Marianne :

Citer:
L’OMS alerte : Travailler tue

Le 04/05/2007 à  0 h 00 - par Mélanie Camoin

A l’occasion de la journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail le 28 avril, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publie un rapport sur les risques des maladies professionnelles.

« Le travail c’est la santé », indique une célèbre chanson. Mais en attendant, chaque année, 200 000 personnes décèdent des suites de cancers contractés dans le cadre de leur travail. L’inhalation ou le contact avec des agents toxiques en sont les principales causes. En tête du palmarès mondial se trouve le cancer du poumon et la plèvre (mésothéliome) chez les personnes qui se sont trouvées à  proximité de fibres d’amiante. Mais pas seulement… L’exposition prolongée à  des agents cancérigènes tels que l’arsenic, la poussière, le benzène, les pesticides, la sciure de bois représente un risque pour la santé. Ces matières provoquent des leucémies et des dommages dans la vessie, le foie et les sinus.

En France, entre 1,4 et 2,6 millions de salariés seraient exposés sans le savoir à  des cancérogènes d’origine industrielle qu’ils soient chimiques ou biologiques. Le cancer dit « professionnel » est tabou, souvent attribué au tabagisme et à  l’alcoolisme.

Près de 20% des patients touchés par cette maladie déclarent appartenir à  la catégorie ouvrière ; les secteurs de la sidérurgie et de la métallurgie, l’industrie chimique et pharmaceutique sont aussi en première ligne.

Le Dr Lehucher-Michel, membre du Comité régional des maladies professionnelles (PACA) reste prudente, « il est très difficile de savoir si l’augmentation du nombre de cancers est liée à  une augmentation du dépistage. Aujourd’hui le cancer dû à  l’amiante est le plus reconnu. Quant à  l’arsenic présent dans les chantiers navals, il est aujourd’hui quasi inexistant et les cas de leucémies sont très faibles».

Selon l’OMS, des millions de travailleurs pourraient être touchés dans les décennies à  venir. Un constat accablant mais réversible si les entreprises misent davantage sur la prévention. En France, celle-ci passe d’abord par l’information des salariés à  travers la médecine du travail chargé de dépister les maladies professionnelles. Le Dr Lehucher-Michel ajoute que « les cancers professionnels sont bien dépistés et les gens de plus en plus sensibilisés. Nous formons des médecins généralistes pour prévenir ce type de maladies ».

De nombreux progrès restent à  accomplir à  l’échelle internationale. D’après le Bureau international du travail (BIT), environ 160 millions de personnes dans le monde souffrent de maladies liées à  leur environnement professionnel.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 06 Mai 2007, 01:23 
Hors-ligne
Miroir
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 12 Mai 2004, 18:19
Message(s) : 690
Arkh a dit:
Citer:
Le travail, c'est avant tout la contrainte quotidienne qui empêche l'individu de s'avachir. Il est impressionnant de voir combien certains, qui ont tout leur temps pour eux, parvienne à  faire moins de choses que ceux qui n'ont pourtant qu'un temps libre limité, après le travail. Voilà  pourquoi je ne peux accepter cette idée d'un monde idyllique où l'on aurait d'autre à  faire que se délasser ou se faire plaisir (cf. sujet du second tour) : quelles loques ne deviendrions-nous pas alors.


Les gens font encore ce qu’ils veulent que je sache, si ça leur plait de faire du vagabondage spirituel toute la journée, pourquoi pas. Ce que tu dis là  ressemble à  des discours de pasteurs désireux de voir leurs moutons ne pas s’avachir pour mieux s’appliquer aux choses de l’église. Je crois qu’en fait, ce que tu veux dire, c’est que l’avachissement n’est pas très constructif pour la société et l’être mais le travail n’est sans doute pas la solution. Je comprend ton désir de tendre vers quelque chose de génial, et chercher des contraires pour équilibrer l’être, mais je crois que l’on se trompe sur la manière de l’équilibrer, le travail n’est qu’un prétexte contre l’avachissement. Le travail lui même n’empêche pas l’avachissement, mais c’est le contexte du travail qui l’en empêche. Ce qui empêche l’avachissement c’est un but personnel ou une contrainte naturelle que l’on accepte de combattre. Si ton truc c’est de travailler pour être satisfait, tant mieux. Quant à  moi la satisfaction dans le travail imposé je m’en fous. Je suis satisfait de mes buts personnels ( fut-ce même dans la oisiveté).
Enfin voilà , j’aimerais mieux exprimer mes idées, mais moi non plus la philosophie n’est pas mon fort
( carrément pas).

PS: en italique, je ne savais pas trop à  qui m'adresser, peut-être que ca ne te concerne pas arkh et de plus c'est encore moins compréhensible que le reste, pardon pardon.

_________________
Je suis l'incapacité d'aimer de Jack.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 06 Mai 2007, 17:37 
Hors-ligne
Débutant
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 03 Mai 2007, 20:30
Message(s) : 20
Le travail n'est pas la panacée de l'avachissement, mais cette activité, souvent contraignante, nous est néanmoins primordial pour apprécier, à  sa juste valeur, les plaisirs de l'oisiveté.
J'admets volontiers que l'oisiveté, à  petites doses, est ô combien délectable et reposante, mais une désoccupation sempiternelle mène à  un état limite végétatif. Je pense, en outre, qu'on a besoin de ces contraintes, inhérentes à  la société d'aujourd'hui, pour obtenir une discipline (l'hygiène, la ponctualité et le professionnalisme) qu'on ne peut pas toujours assimiler autrement.

Je digresse ? Je dis des bêtises ? :lol:

_________________
- Composeras-tu une chanson pour lui ? demanda la femme.
- Il en a déjà  une, répliqua l'homme. Comme il est le prince qui fut promis, sienne est la chanson de la glace et du feu."


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 06 Mai 2007, 18:34 
Hors-ligne
Saroumane le Blanc

Inscription : 17 Déc 2005, 22:02
Message(s) : 558
Il me semble surtout que nous vivons dans une société où la notion de plaisir est dissociée du travail car rares sont ceux qui accomplissent un métier qui soit en parfaite adéquation avec leurs envies. Dans ce sens, on pense souvent que les artistes sont des fainéants parce qu'ils tirent de la joie à  leur activité qui est pourtant loin d'être de tout repos.

En fait, personne ici n'a pris la peine de définir ce qu'on entend par "travail"?


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePublié: 06 Mai 2007, 20:18 
Hors-ligne
Il est les ténèbres
Avatar de l’utilisateur

Inscription : 01 Mai 2005, 12:16
Message(s) : 1448
Localisation : Grenoble
Les deux approches les plus généralement admises ont été données dans le second message de ce sujet, par Morgan Kane.

_________________
Il est facile de distinguer les jours où je suis de bonne humeur de ceux où je suis de mauvaise humeur : les premiers, je me définis comme obscurantiste et professe que l'Humanité a désespérément besoin d'être ramenée au niveau technologique d'il y a trois siècles ; les autres, je me définis comme nihiliste et professe que le meilleur avenir auquel l'Humanité puisse aspirer, c'est une extinction sans douleur.


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages publiés depuis :  Trier par  
Publier un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 39 message(s) ]  Aller vers la page 1, 2, 3  Suivant

Le fuseau horaire est UTC+1 heure [Heure d’été]


Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 1 invité


Vous ne pouvez pas publier de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum

Recherche de:
Aller vers :  
cron
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
Traduction et support en françaisHébergement de site