-Hj-Sur ce sujet sont résumés les grande nouvelles du monde que tous les Pj peuvent savoir, en gros ce qui se passe dans d'autres pays où vous n'êtes pas-Hj-
Ambiance musicaleRhys était vétu de son armure d'apparat, son épée a la ceinture, sa cape blanche brodée d'argent pendant derrière lui alors qu'il se dressait sur son cheval blanc devant ses troupes. Le dieu du Bien se dressa face a ses hommes, les toisant depuis son imposante monture, Vaillant rua un peu tandis qu'il dégainait au clair son épée, celle qu'il venait de regagner. Serein, le seigneur des chevaliers lança"Rhys": Chevaliers ! Braves ! Aujourd'hui est un jour historique, aujourd'hui nous menons un assaut frontal contre nos ennemis de toute éternité !"
Les chevaliers, leur heaume sous le bras levèrent les yeux vers leur dieu rayonnant sous le soleil de midi qui auréolait sa tête"Rhys": Aujourd'hui est la bataille pour laquelle vos ancètres vous ont formés et pour laquelle vous êtes né, au coeur du chaos, les forces du Bien ne faibliront pas, nous réunirons nos hommes et nous vaincrons, car telle est notre glorieuse destinée !"
Le dieu blond lança un regard circulaire a ses fidèles, les milliers d'hommes réunis ici qui plaçaient leur foi en lui, mais égalementles civiles de sa contrée qui assistaient au discour. Toute son existence il s'était efforcé d'être un exemple de droiture, un guide infaillible là ou certains régnaient par la force ou la peur, certes les humains n'étaient pas toujours fidèles a ses principes, mais ce n'étaient que des mortels, et il aimait chacun de ses enfants tant qu'il ne se détournait pas de sa voie."Je sais que vous avez peur, je sais que vous pensez ne jamais pouvoir l'emporter face a ces créatures armées de crocs et de griffes, et je ne vous en voudrait pas pour avoir peur. Mais pensez a vos amis, vos conjoints et vos enfants, pensez a la peur qui les habite également et a ce qui leur arrivera si aucun des braves hommes de Dalaris n'est là pour se dresser tel un rempart face a la vilénie rampante et a la tyranie de ces créatures ! Arriverez vous a encaisser l'asservissement brutal de notre race face a ces reptiles qui ne connaissent que mort et haine? Laisserez vous le sang, le sang de vos compatriote couler a flot dans nos champs et dans nos goutières?! Je sais que vous avez peur citoyens de Dalaris !"
Cria t'il a ses fidèles alors qu'il faisait ruer a nouveau son cheval"Utilisez cette peur comme une force motrice vous permettant de balayer vos ennemis ! Ne tolérez pas qu'une telle infamie puisse franchir vos portes et vous dire ce que vous devez faire, et comment vous devez vivre. Nous partons aujourd'hui en croisade ! Une croisade qui ne s'achèvera que lorsque l'Empereur Dragon implorera notre grâce ou rotira en enfer !"
Les épées se soulèvèrent tandis que des hurlements tonitruants retentissaient au travers des murs et que des femmes lachaient des colombes survolant la place. Rhys brandit son épée en direction du nord, de Centralis"Ralliez vous a moi ! Rhys le preux ! J'ouvrirais la marche vers la victoire ! Je serais la première ligne de cette armée immaculée du Bien ! Qui est avec moi ?!"
La foule se mit a scander son nom de plus en plus fort, les paladins tapaient de leurs armes sur leur boucliers tandis que sous le soleil brulant de Dalarie les colombes volaient toujours plus haut, s'éloignant de la cacophonie...*******************************************
Le marteau frappait le fer rouge encore et encore, puis le forgeron glissa l'épée dans l'eau et la posa avec les autres. Il était normale que pour la guerre qui se préparaient, les meilleurs forgerons des tribus de l'est préparent des armes pour les meilleur guerriers du nord. Et pour une telle occasion, toutes les tribu étaient frères. Pour la première fois de mémoire d'homme, Amon le Grand Ours Blond marchait parmi ses fidèles. La dernière bataille, celle de la fin des temps, l'Armageddon. D’énormes guerrier de plus de deux mètres de haut se jetaient des stocks entiers d'épées, de haches et de piques vers des caravanes prêtes a partir. Autour du feu dans les massures épaisses faites de bois robustes et de peaux, les anciens racontaient aux enfants les exploits de leur grands héros, les guerres qu'ils avaient menés et comment l'esprit de tous ces braves accompagneraient leur parents lors de la grande bataille, auprès du plus grands guerriers des Steppes : leur propre dieu.
Garaak, la capitale de la Tribu de l'Ours Blond était un grand village, pas aussi grand qu'une capitale imperiale ou même de celle d'un royaume, mais il s'agissait du plus grand amoncellement de huttes et de barbare de tout le continent. Le conseil des braves, réunissant toutes les tribus des steppes se réunissait pour débattre de leur stratégie. Bjorn, quitta la hutte et s'avança dans le froid. Le grand nordique faisait près de deux mètres dix de haut pour 150 kilos de muscles, vêtu de peaux d'ours, il passa devant les shamans qui couvraient les braves de leur peintures de guerre, son énorme hache a deux mains sur l'épaules. Bjorn était le Prince de la tribu de l'Ours Blond, et il était de son devoir ancestral de commander aux forces lors de la dernière bataille. Mais Bjorn n'était pas un commandant, c'était un guerrier, un combattant sublime envahi par la rage de centaines d'ancètres lorsqu'il partait au combat. Ses longs cheveux bruns en bataille coulant sur ses épaules, son visage bardé de cicatrices comme le reste de son corps lança un dernier regard a son village, du haut de ses vingt ans. Pour la première fois de sa vie, il lui vint a l'esprit qu'il ne pourrait jamais revenir."Amon": Tu semble pensif, Prince Bjorn.
Le jeune homme se retourna pour faire face a son dieu, le seul des barbarres du village capable de le toiser de deux bonnes têtes de plus, le grand homme a la crinière blonde lui lança un regard de ses yeux bleux perçants, les yeux de Bjorn accrochèrent son regard."Bjorn": Je pensais a la grande guerre de la fin des temps, ô Ours Blond, je pensais aux combats qui allaient venir et au sang de nos ennemis se mélant au notre, coulant sur la neige loin de nos maisons.
"Amon": As tu peur?
Le prince Bjorn eut un sourire, quiconque aurait contemplé cet homme qui semblait dix ans plus vieux que ce qu'il paraissait sourire y aurait vu un sourire plein de sadisme et de cruauté, mais en réalité, ce sourire était un sourire de joie"Bjorn": Nul guerrier avant moi n'aura eu l'honneur de connaître pareille guerre. Je me battrais jusqu'a mon dernier souffle, heureux de finalement trouver adversaire digne de mes armes.
Amon hocha la tête et posa une main sur l'épaule de son fidèle"Amon" Bientôt nos troupes partirons vers le sud. Tiens toi a mes côtés, Prince Bjorn, et tu trouvera bataille a la hauteur de tes désirs les plus chers.
Le grand nordique hocha la tête tandis qu'ils regardaient le soleil se lever sur la toundra************************************************
Liselle soupira alors qu'elle refermait son grimoire. La gardienne de la Grande Bibliothèque de Magie de Lucifer étaient l'une des mages les plus redoutables que l'on ait connues. C'était également l'une des plus carracterielles. Dans sa prime jeunesse elle avait été membre d'un groupe d'aventuriers où elle avait servi en temps que mage, a présent proche de la cinquantaine, elle prenait une retraite bien méritée dans un petit travail confortable dans un poste très envié. La pyromancienne lança un regard impatient a la jeune fille qui la dévisageait, ses cheveux roux tombant derrière elle. Elle avait toujours été une petite femme sèche, tandis que celle qui lui lançait de longs regards désespérés était une grande asperge aux cheveux noirs mi longs entortillés de mèches pourpres. La bibliothécaire portait des épaulettes et une cape, une marque de statut décernée aux archimages ceux qui arrivaient a surpasser les limites de la magie connue, la jeune femme, quand a elle, portait encore l'uniforme des disciples. La vieille bibliothécaire aux yeux verts lui lança un regard noir."Lisette": Et vous êtes?
"Eleve" : Oh excusez moi je ne voulais pas vous interrompre pendant votre...
"Lisette": Alors vous devriez apprendre qu'il est très malpoli de fixer les gens.
"Eleve": Oh...Oh veillez m'excuser.
"Lisette": Votre nom jeune fille.
"Taiga": Je m'appelle Taiga, j'ai...
"Lisette": "Tellement entendu parler de vous, c'est vrai que vous avez renvoyé une quinzaine de dragons dans leur niches a coup de boule de feu?"
"Taiga": Comment le savez v...
"Lisette": Vous n'êtes pas la première a me poser cette question. Et je vous répondrait la même chose qu'a toutes les autres : Je ne suis plus dans le coup, vous exterminerez vos propres dragons vous même quand vous serez en âge de jeter un sortilège de niveau 9 jeune fille, maintenant plus vite vous retournerez a vos études et plus vite vous me ficherez la p...
"Taiga": Oh. En réalité je suis déjà capable de lancer des sortilèges de niveau 12, je voulais savoir si vous aviez quelques ouvrages a me conseiller dans le but que je progresse bien sur?
Là Lisette ouvrit un oeil. Une gamine pareille avait le culot de lui dire qu'elle maîtrisait des sortilèges dépassant le niveau 9 ? Si c'était le cas elle aurait le niveau d'un archimage, et n'avais rien a faire ici. Elle était trop jeune et trop godiche pour dire la vérité. Bon bien sur, elle n'était pas plus vieille que ça quand elle avait elle même atteint un tel niveau et... Mais...Une seconde..."Lisette": Quel âge avez vous et comment m'aviez vous dit que vous vous appeliez?
"Taiga": Je m'appelle Taiga Stellaris, j'ai 23 ans.
Il lui semblait avoir entendu parler de ça. Une jeune surdouée qui avait gravi les échelons de l'université les uns après les autres, une fille si Prométeuse qu'elle avait décroché une bourse pour être formée près de la déesse elle même. Raison de plus pour lui lancer un regard encore plus noir. Lisette pouvait le voir a présent. Cette jeune femme était non seulement douée, mais son petit coté cul pincé montrait que c'était une véritable fanatique des études. Le genre de fille qui ne faisait que plancher toute la journée sans se poser de questions. Elle soupira. Si elle avait acquis un tel niveau c'était a force d’expérience, pas en apprenant a jeter des sorts dans des bouquins. Lisette ferma son livre."Lisette": Ecoutez gamine, je vais être franche avec vous, vous n'avez pas besoin d'apprendre plus, ce dont vous avez besoin c'est de tirer un coup !
Les joues de la jeune femme s'empourprèrent immédiatement. Elle tapa sur le comptoir"Taiga": Comment osez vous ?
Les deux femmes commencèrent a se prendre le chou tandis que les abonnés réguliers de la bibliothèque se mettaient a soupirer. Heureusement que c'était sensé être un lieu calme."Bibliothécaire": Fermez là toutes les deux ! Lisette tu t'engueule encore avec une cliente?! Combien de fois il va falloir vous dire que c'est sensé être un lieu calme !"
Cria l'un des bibliothécaire de l'autre coté de la salle alors qu'il marchait vers le comptoir. A ce moment là le mur a coté de lui explosé, faisant disparaître l'homme sous les débris alors qu'une silhouette apparaissait dans la fumée...Les deux jeunes femmes se regardèrent, d'un air ahuri alors que quelque chose en jaillissait