Eltanin

La ville brûlait, après trois siècles d'un intense éclat la grande citée elfique de K'astellhelfe se consumait dans les flammes. L'une après l'autre les tours scintillantes tombaient dans un grondement qui semblait imiter un râle d'agonie. L'ampleur de la catastrophe et sa violence rendait le spectacle d'une beauté effrayante, dépravée voire répugnante si on arrivait à  percevoir les choeurs de lamentations des victimes mais pourtant tellement hypnotique...

- Seigneur Estel ! Seigneur Estel ! Il faut partir !

Dur-Estel fut tiré de sa rêverie morbide par un de ses derniers soldats revenus après qu'il lui ait ordonné de sonner la fuite de la ville. Dans un élan de loyauté il était maintenant revenu, son armure et ses vêtements en lambeaux.

-Seigneur, il n'y a plus d'espoir. Nous devons faire partir nos troupes !

- Pourquoi n'avons-nous pu... nous étions du côté de la justice, murmura le seigneur elfe apparemment choqué.

Le soldat encore essoufflé préféra baisser les yeux avant de répondre.

- Il semblerait que... nous ne sommes pas encore sûrs mais plusieurs de nos hommes auraient vu des gens de notre peuple aider les troupes du Chaos à  s'infiltrer dans la citée quand ils ont attaqué les portes maître...

- P...pourquoi m'ont-ils trahi Elendil, dis-moi, se mit presque à  sangloter Estel. J'ai fait tout ça ! Cette citée, ce pays ! Uniquement pour leur bien, pour notre grandeur ! Et tout ce qu'ils trouvent à  faire... c'est... ce monstre, c'est lui ! C'est de sa faute s'ils se sont tournés contre moi.

- Mon seigneur rien ne prouve que... Il fut interrompu sèchement.

- NON ! C'est de sa faute il les a corrompu ! Il a toujours été jaloux ! Il ma toujours envié ! Moi qui ai tout réussit il ne la pas supporté !

- Maître... Nous devrions fuir il est trop tard pour pleurer nos erreurs nous devons...

- Je n'ai pas fait d'erreur ! Comment oses-tu ?! Ce sont eux qui ont réduit mes efforts à  néant ces traîtres, ces... Mais il s'arrêta net quand une gerbe de feux traversa le mur et liquidifia son interlocuteur, inondant la pièce de l'odeur douceâtre de la viande grillée et du métal chauffé à  blanc...

- Elendil...

C'est alors qu'il entendit le rire. Il se mit d'abord à  résonner dans la pièce maintenant envahie par les flammes, il semblait sortir de partout, puis il emplit bientôt tout l'univers personnel du seigneur Dur-Estel jusqu'à  dans son crâne... La poussière l'empêchant de hurler il se précipita vers la fenêtre où son regard perdu tomba sur le carnage en bas. L'incendie semblait moins fort mais hélas cela lui permettait de voir les milliers de cadavres d'elfes recouverts de sang... Et au milieu de ce charnier entouré par des hommes en armure couleur nuit se trouvait...

- Yo Estel ! Alors tu descends, lâche ?

Il sentit sa haine envers la personne en contrebas, il en tremblait littéralement de rage... C'est alors qu'il se mit à  reculer d'un pas, puis d'un autre, cherchant à  s'éloigner le plus possible de cette fenêtre qui lui inspirait un soudain malaise lui vrillant la poitrine, il devait fuir, il ne devait pas offrir à  cet être le plaisir d'apparaître devant lui... Soudain le sol de la tour où il s'était réfugié céda, s'ouvrit en deux telle une bouche infernale, il y avait des flammes, énormes, elles jaillissaient tel un torrent pour ensuite prendre à  la plus grande horreur de Dur-Estel une forme ailée mais également humaine... Le bruit que cela provoquait se mit alors à  ce muer en une voix désincarnée...

- Roh allez Estel fais pas ta mijaurée viens qu'on s'explique...

La chose tandit alors une main enflammée vers lui...


- NNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNN !! ...


Il ouvrit des yeux révulsés et se releva d'un bond dans son lit, il sentait la sueur dégouliner sur son dos, il essaya de calmer sa respiration affolée tandis qu'il parcourait l'obscurité d'une pièce qu'il se souvint être sa chambre. Il crut un moment encore entendre les échos d'un rire au creux de ses oreilles tandis que son esprit sortait des brumes de son rêve mais il chassa aussitôt cette idée de sa tête, ce n'était que ce cauchemar, encore...

Soudain à  côté de lui quelque chose à  moitié sous les draps émit un son, presque un grognement. Estel se figea un instant, paniqué, avant de se rappeler qu'il partageait son lit avec quelqu'un.

- Mmhm chéri ? Tu as fais un cauchemar ?

Prenant une grande inspiration pour essayer de se détendre il se pencha vers la personne qui partageait sa couche.

- Ca va mieux mon ange, rendors-toi.

S'assurant que sa compagne était de nouveau assoupie, il quitta le lit avant d'enfiler une tunique et de partir dehors. Là , il gagna le puit pour ensuite s'asperger le visage d'eau. C'est alors qu'il vit qu'il tremblait malgré la chaleur de la nuit estivale.


- Je dois arrêter d'y penser, ce n'était qu'un rêve, ça fait déjà  plus de deux ans. Ce monstre est probablement resté là -bas, avec ses semblables, à  savourer sa victoire et mon humiliation... Dit-il à  haute voix dans un soupir pour se rassurer. Ensuite il resta encore quelques secondes figé à  écouter les bruits nocturnes alentours de la clairière où se trouvait sa maison avant de retourner dans celle-ci d'un pas presque soulagé .

Le lendemain la vision du soleil levant lui fit oublier les dernières bribes de souvenirs de son cauchemar, il se leva de son lit presque en sifflotant, admirant l'aurore par la fenêtre comme si rien n'avait eu lieu...

Au moment de sortir de sa chambre, il vit sa compagne l'attendant assise devant la petite table en bois qui représentait la majeure partie du mobilier. Depuis le drame d'il y a deux ans, Estel avait renoncé au faste et au luxe pour suivre ce qu'il appelait la voie du guerrier. Un mode de vie sobre et austère, Si'lvhy ne s'en était jamais plainte, elle le comprenait. Il l'avait rencontrée dans la forêt qui entourait cette petite maison, elle l'avait recueilli puis au fil des jours, des sentiments naquirent entre les deux êtres. Alors il avait décidé de rester auprès d'elle bien qu'elle n'était qu'une simple humaine et que son propre peuple à  lui fuyait le désastre qui s'était abattu sur eux. Depuis ils vivaient tout deux reclus, se nourrissant de leur petit jardin et du gibier que lui fournissait les bois.

- C'est la deuxième fois en une semaine que tu te réveilles au milieu de la nuit, lui dit-elle enfin après qu'il se soit assis. Je commence à  m'inquiéter chéri ; quelque chose te préoccupe depuis quelques temps ?

Un tremblement nerveux le reprit brièvement au niveau des mains qu'il cacha en les laissant sous la table et en baissant les yeux avant de répondre.

- Ce n'était rien chérie, ne t'inquiète pas. Ce ne sont que de vieux souvenirs qui ont resurgis.

- Du temps où tu habitais dans cette grande citée dont tu m'avais parlé ?

- Oui, c'était avant que ceux que je considérais comme mes amis me trahissent par jalousie et par bêtise pour finalement détruire tout ce que j'avais fait. Ils se réunissaient même dans mon propre palais et, sous couvert d'entretiens privés, se gaussaient de moi pendant des heures ou débataient sur le meilleur moyen de me faire souffrir intérieurement... Je ne l'ai compris qu'après, malheureusement, mais il était déjà  trop tard. Aran, IL, Night... si seulement j'avais de suite vu leur perfidie ! D'une brusque montée de rage il donna alors un coup de poing sur la table.

- Je suis désolée de t'avoir fait ressasser ces terribles épreuves, mon amour. Elle se leva. Pour me faire pardonner, reste assis, je vais faire le petit déjeuner...

- Ne t'inquiète pas Si'lvhy, lui répondit-il après quelques minutes de silence. Maintenant j'ai réussi à  faire un trait sur ce passé, je ne veux pas que les actes d'êtres cruels et immoraux détruisent mon bonheur présent, je suis sûr que c'était la dernière fois que je faisais ce genre de rêve. Tu n'auras plus à  t'en inquiéter, je te le promets.



Plus tard alors que sa femme était partie dans leur jardin, Estel, lui, était resté dans la maison, plus particulièrement dans le salon, occupant le seul fauteuil des lieux et lisant ses mémoires qu'il écrivait les jours de pluie. Il aimait relire les premiers chapitres, ceux où il avait décrit pendant des pages et des pages ce qu'il considérait comme l'âge d'or de sa vie. Il n'avait pas noté ni mentionné les moments et les gens qui lui rappelaient de mauvais souvenirs. Aussi, tout était raconté comme un rêve enchanteur, le fantasme d'une vie qui aurait due être comme lui Dur-Estel l'aurait voulu... C'est alors qu'il entendit des bruits de chevaux dehors, puis son sang se glaça quand il perçut aussi des voix parler dans une langue gutturale qui ne pouvait signifier qu'une seule chose. Ils l'avaient retrouvé ! Il se releva vivement de sa place sans quitter la fenêtre des yeux comme choqué. Ses tremblements le reprirent tandis qu'il essayait de ne pas succomber à  la peur qui l'étreignait. Il les entendait maintenant se rapprocher.

...un bruit, deux... des épées que l'on dégainait... Son esprit lui hurlait de fuir, vite... C'est à  ce moment-là  que cédant à  la panique et voulant se retourner pour s'enfuir il glissa bêtement et s'assomma contre le sol de pierre tandis que l'on enfonçait sa porte...


à  suivre...

Pff... J'ai survolé le texte, pour deux raisons :

- il y a trop de fautes d'orthographes, de grammaire et de syntaxe, même si l'histoire commence bien (j'adore la Fantasy), on n'a pas envie de poursuivre à  cause d'un français aussi moyen, pour preuve, je ne cite que ce passage, sublime à  mon goût :

- c'est un poil court pour une introduction, ça manque de détails, tant sur la description des personnages, que sur les lieux. Tu as bien posé l'histoire, grâce à  un rêve relatant le passé, mais une un deux description de plus enfoncerait le clou, car là , tu demandes beaucoup d'imagination aux lecteurs (ce qui n'est pas forcément mauvais, mais très dur à  utiliser en écriture).

Au final, j'attends la suite, mais relis-toi, corrige les coquilles présentes avant d'entamer la suite, avec une bonne base, tu arriveras plus facilement à  continuer ce récit.

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Mciii ! Rah toujours ce problême d'ortho et c'est pas faute d'avoir essayé d'arranger ça bon je vais revoir c'est vrai qu'à  relecture il y a eussi des phrases mal tournnées.... Bon j'essaye de bien corriger la derniere partie et je refait ça plus beaucoup mieux tout pleins ( je poste la fin après sa correction )


edit : merci maître Rosiel

Ouais, je te dispense des fautes d'orthographe et de grammaire. Comme ça, paf, par pure philanthropie, ou idiotie, c'est selon.

Toutefois, pour ce qui est de la syntaxe très maladroite, je ne peux bien évidemment rien faire. C'est à  toi de revoir la plupart des tournures de phrases, et de t'appliquer à  être plus concis. J'ai bien peur que ta manière de narrer ne soit pas assez limpide pour que tu sois en mesure de faire des descriptions desquelles on ne voit paaas la fin.

Bon, et même en faisant abstraction de la forme, disons que tu accumules trop les détails oiseux pour en venir à  l'essentiel et donner une réelle contenance à  ton récit.

Hors la syntaxe et l' orthographe, vous me semblez trop sévère ... Le récity est un peu maladroit mais intéressant ...

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Smouales étaient les borogoves

Bon j'ai essayé d'arranger la fin le mieux que j'ai pu, hélas quand on est pas doué en orthographe c'est pas toujours evident de voir ses propres fautes surtout quand les correcteurs de works aiment planter pile quand on a besoin d'eux...Pour la syntaxe j'ai refais les dialogues mais si ils manquent encore beaucoup de fluidité n'hésitez pas à  le dire. Bon trève d'escuse voila la fin de ce ''splendide'' recit ( qui fait référence pour la petite histoire à  quelque chose s'etant passé sur un lointain forum....non pas traumen c'etait bein après )





Quelques instants plus tard il fut brutalement tiré de sa torpeur par un coups de pieds dans l'estomac.

- Allez debout !

La douleur lui fit brusquement ouvrir les yeux devant 4 guerriers en armure le surplombant leurs épées tirées et une certaine cruauté dans le regard.

- Pfff Bien piètre gibier, on le ramène quand même ?

- Le maître recherche des esclaves peut être que si on lui ramène celui là  on aura droit à  du rab sur la solde....

Profitant que ses agresseurs ne lui prêtait plus attention Estel dans un sursaut de courage ce releva vivement et faisant une roulade pour gagner le mur opposé de la pièce pour ce saisir d'une lance en bois qui y était accroché tel une simple décoration et de prendre une position d'attaque. Les 4 humains le regardairent avec un vague intérêt avant de ce mettre à  sourire étrangement.

- Faites gaffe les gars il est armé d'un bout d'bois !

lacha l'un d'eux avant de ce mettre à  rire bientôt suivit par ses camarades dans l'hilarité. Pris de colère devant ces réactions l'elfe dans un cris de guerre qui ce voulait effrayant chargea ses adversaires, hélas à  peine fut il à  leur porté que celui qui était juste devant lui donna un simple révère de sa lame tranchant net son arme dont la moitié tomba tristement avant de rouler par terre dans un coin. Il y eu quelques instants de silence puis les humains ce remirent à  rire de plus belle tandis qu' Estel le regard vide baissait la tête vers sa lance maintenant inutile.

- Muahahaha...Bon aller finit de rire les gars on va s'inquiéter au camp si ils nous voient pas revenir. Et sur ses paroles celui qui semblait être le chef donna un violent coups du plat de sa lame sur la tête de sa victime la faisant tomber à  la renverse avant de la traîner par les pieds hors de sa maison. Ce n'est qu'au moment où on l'assomma pour de bon et qu'il bascula dans l'inconscience que l'elfe ce demanda où était sa compagne....


Quelques jours plus tard

Assis dans cette cellule il contemplait le sol, il avait arrêter d'hurler qu'on le libère quand les gardes lui avaient hurlé de ce la fermer. Il c'était donc muré dans un silence prostré, et maintenant il entendait des voix qui brisait le si long silence qu'il connaissait depuis des jours. l'une d'elle lui était familière puis soudain il c'était souvenu dans un hoquet de stupeur.

- On l'a trouvé où ?

- Dans une des forêts qui longe nos nouvelles frontières avec les anciennes terres elfique, il ce cachait las bas quand une patrouille la trouvé, d'après les hommes ils ont trouvés une fille dans les bois qui prétendait ce faire séquéstrée depuis des années par cet elfe et les a conduit à  lui.

- Sacré Estel il a toujours su s'y prendre avec les demoiselles.

- Que souhaite en faire mon seigneur ?

- Bah déjà  voir si il bouge encore.

Il ferma les yeux en espérant que tout cela soit un cauchemards, mais non il sentait l'humidité des lieux et l'autre qui le regardait, rassemblant ses forces il essaya de lui cracher dessus et de l'insulter mais ne réussit qu'à  produire un gargouillis ainsi que deux mots intelligibles.

-...Dépravé......monstre.

- Ahhh Estel moi aussi je suis ravis de te revoir. Lui fut il repondut d'un ton joyeux. Dis donc Yorrick tes hommes y sont pas allez de mains morte.

- Je suis désolé seigneur, ils m'ont pourtant assuré qu'ils n'avaient fait que l'assomer.

- Le pire c'est que ça ne m'etonnerait même pas, il a bien été j'usqu à  bruler sa propre citée, alors s'auto mutiler.....

Une vague de souvenirs refluèrent en Dur-Estel il essaya de les chasser mais ils revenaient de là  où ils les avaient enfouis.

- N...non monstre ! Démon ! c'est ta faute. Sanglota t il en relevant ses yeux hagards vers les deux personnes devant sa cellule.

C'était bien IL, le seigneur de Mortneant, ancien amis d'Estel avant qu'il le trahisse sans remord. Une petite voix interieur sussura à  l'elfe que cela n'avait pas été si simple que ça et que cela aurait pu être évité mais elle resta inaudible devant le rampart qu'Estel avait construit autour de son ego.

- Oui biensurs et c'est moi aussi qui est réussis à  foutre le feu à  ton palais alors que cela faisait 2 jours que je l'assiégeait en vain ? Et tu vas me dire aussi que les catapultes et les torches enflammées c'est moi qui les est fournis à  tes troupes ? Ah oui c'est aussi moi qui est convaincu ton propre peuple à  fuir la ville, la famine et ta lois martiale ne devait y être pour rien alors, faudra que je la sorte à  Aran celle là  au prochain banquet.....

Cet fois Estel tenta de ce relever, il réussit à  genoux à  s'approcher des barreaux tout en fixant son interlocuteur.

- C'est toi sale traitre ! Toi ! Tu les as trompés ! Ta jalousie et ta veulerie ont fait le reste ! Tu est un être immoral et débauché IL ! Tu est un.....Il fut stoppé net dans ses paroles par un coups de pieds en pleins visage dudit IL, le faisant s'écraser contre le sol de sa prison.

- Dit il alors que c'est son propre royaume qui ma presque aidé à  l'envahir, tu me rappel messire Re'hmy quand il était à  la même place que toi, lui aussi à  longtemps craché sa bile en vains, il ce serait noyé dedans si je ne l'avais pas fait bouffer par mes dragons d'ailleur....

Dur-Estel n'entendait plus, il s'était recroquevillé dans son propre monde de souffrance....

- Et maintenant tu as encore brisé ma vie. Celles que j'aimais m'ont fuis, mes amis m'ont trahis et humilié....Pourquois...? Moi qui n'est fait que mon mieux, moi qui était si bon avec autruis....Et il retomba dans son silence surr un dernier sanglot.

- Chais pas Dur. Lui fut il répondu après quelques secondes de silence de son interlocuteur. Mais pour qu'une jeune fille te dénonce comme un dangereux maniaque c'est peut être que tu n'étais pas si bon que ça avec autruis.....

- Non ! C'est faux ! c'est....La voix d'Estel ce tue comme si il avait été frappé de mutisme. Elle aussi elle ma trahis. murmura t il avant de ce remetre à  sangloter.

- Mhm toujours aussi pathetique. Bien j'en est assez vu, demain vous me l'habillerez avec un costume de bouffon et l'enverrez chez le seigneur Night ça fera un cadeau d'anniversaire de moin à  faire.

- Bien mon seigneur. Et pour la fille ? Elle pourrait toujours servir au chateau.....

- Bonne idée tu me fais ça de suite...Alala sacré Estel et dire que tout ça c'est par ce qu'il c'est entété à  ne pas vouloir voir au-delà  que l'axiome bien/mal et de ce montrer inflexible au point d'être inhumain....

- C'était un elfe. Trancha son subalterne comme seul réponse explicative.

- En plus...Brrr tu imagines des commes lui par miliers ? Glauque.....

- Je demande qu'on prepare l'invasion contre les dernieres colonnies elfiques ?

- Il va bien falloir, mais est ce qu'on arrivera pour autant à  occire de tels abominations ? J'en doute, mais tu as raisons c'est comme le ménage il faut bien commençer quelque part......

Et c'est ainsi que finit un méchant petit elfe qui n'avait jamais voulu ce remetre en question et avait finalement rencontré un humain pas très gentil non plus.....


Fin

Ah la la ! Moi qui était parti pour une épopée, ca se finit bien vite...!

Bon, je dois réitérer les mêmes remarques que précédemment, à  savoir :
- Un français vraiment limite : confusion des auxiliaires, fautes de frappes (j'espère !), etc.
- Des problèmes graves de syntaxe, de respect des temps, de la logique même.
- Une histoire bien trop courte, tu aurais presque pu la mettre en une seule fois et annoncer un one shot, car je ne vois pas qu'est ce qu'on pourrait en faire d'autre.
- Un manque de description primordiale, et une dilution de certaine séquence émotion.
- Une fin brusque, avec un épilogue presque sordide... As-tu voulu réaliser une satyre ? Un conte ? Une texte visant à  insulter un membre du forum ?

En conclusion : déception plutôt grande, j'attendais une véritable histoire sur quelques chapitres, entraînante, tout en gardant les bonnes vieilles choses qui font que le Fantasy reste de la Fantasy. Dommage, vraiment dommage.

PS : le premier texte a-t-il été corrigé ? Quelqu'un aura-t-il le courage de repêcher l'idée de scénario (en omettant le nom des personnages, vaste bouffonnerie d'ailleurs), car le potentiel est là , quoiqu'on en pense.

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En meme temps pour le nom des persos vu que ça c'est déroulé sur le net et que je n ai fait que métaphorisé tout ça c'est un peu normal que j'ai laissé les vrais ^^, ( donc vi ça peu choquer remarque )