Depuis le temps qu'on parle du photoréalisme, nous voilà en plein dedans...
Enfin presque, il subsiste quelques petites choses qui clochent, mais elles se comptent sur les doigts de la main d'Altaïr. C'est-à -dire qu'ils sont très peu nombreux, les défauts graphiques du jeu "Assassin's Creed", car son héros a dû se couper l'annulaire en entrant dans sa confrérie d'assassin, afin de lui prouver sa loyauté. Cette mutilation permet à Altaïr d'utiliser, poing fermé, la lame rétractable fixée à son poignet, passant en lieu et place du doigt manquant...
Il s'agit d'un jeu d'aventure-action permettant, pour l'essentiel, les mêmes interactions avec l'environnement qu'un "Prince of Persia", par exemple. Le but est bien sûr, essentiellement, de se livrer à des assassinats. Mais "Assassin's Creed" apporte un changement de taille : la gestion
logique, tout simplement, des passants.
Non, les personnes que vous rencontrerez dans le jeu ne seront plus effrayées systématiquement à la seule vue du personnage principal ! Non, elles n'auront pas le choix entre attaquer ou s'enfuir !
Davantage que par une infiltration digne de Solid Snake, la furtivité passe ici par le
comportement. C'est en adoptant une démarche tranquille, une attitude bonhomme, ou en affichant un air affairé, par exemple, que l'on échappe aux soupçons.
L'environnement est une grande cité, à l'époque des croisades.
Images haute qualité :
La foule
Point de vue en hauteur
Devant un pont-levis