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VIH, SIDA... https://www.pantagrame.com/eltanin/forum/viewtopic.php?f=52&t=2077 |
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Auteur: | Raphychou [ 25 Jan 2006, 20:43 ] |
Sujet du message: | Re: Les Jeunes Catholiques Nantais. |
Fab a écrit: 20 minutes fait dans la pornographie.
Nous rappelons que le port du préservatif dans le but de se préserver du Sida n'est pas fiable. Point de détail, le préservatif ne réduit que de 70% les chances de transmission du VIH. |
Auteur: | squallgofsc [ 25 Jan 2006, 22:11 ] |
Sujet du message: | |
d'ou tu sort ca? <.< |
Auteur: | Raphychou [ 25 Jan 2006, 22:22 ] |
Sujet du message: | |
Squally GOFSC a écrit: d'ou tu sort ca? <.< De là : Un nommé Beurk, sur le forum Mad Movies, a écrit: L'étude faite par le Dr. Ing. José Giralt Gonzalez dans le N° 9 de «Réussir votre Santé» mettait en doute la fiabilité des préservatifs. Cet article n'a reçu, à ce jour, aucun démenti. Mieux encore, cette étude corrobore celle faite par le Dr. Johanès Lelkens, professeur d'anesthésiologie à l'université de Maastricht.
Dire que le préservatif est utile dans la lutte contre la transmission du sida relève plus d'une pseudo-conviction que d'une certitude scientifique. Assistera-t-on au procès du préservatif ? Cela est peu probable. La raison est que si sa fiabilité n'est pas certaine, la transmission sexuelle (hétérosexuelle) n'est pas l'unique responsable de l'infection qui est multifactorielle. Des études font ressortir que si la population touchée est surtout homosexuelle, perfusée ou droguée, seuls 15% de l'ensemble des porteurs de virus du sida sont hétérosexuels (alors que les hétérosexuels représentent 94% de la population sexuellement active). Aujourd'hui, si les homosexuels se reconnaissent comme tels, il est nettement plus difficile d'avouer son penchant pour les drogues dites «dures» prises par voie intraveineuse. (Ces études font abstraction des drogues dites «douces» et ne tiennent pas compte des autres dépendances à la cocaïne, au haschich, à l'alcool, aux médicaments...) A un effet - quel qu ïl soit -, existe une ou plusieurs causes responsables. Ce n'est qu'en les supprimant que l'on peut espérer faire disparaître la pathologie. Dans le cas particulièrement dramatique du sida, qui frappe tant de jeunes femmes et de jeunes hommes, la science est, à l'heure actuelle, désarmée, voire impuissante. Une surface pleine de trou Les préservatifs ne préservent rien. Une étude réalisée par un chercheur hollandais affirme qu'«ils recueillent un énorme succès dans la prévention des maladies sexuellement transmissibles, mais le pourcentage d'échecs est plus important qu'on ne le pensait jusqu'à présent. Les prophylactiques réputés les plus sûrs ne sont pas exempts de trous, de fissures et autres orifices d'une taille nettement supérieure à celle des virus. Leur image, au microscope, les fait davantage ressembler à un paysage lunaire troué de cratères qu'à une surface parfaitement lisse et étanche. Si l'on tient compte du fait que le sida reste une maladie mortelle, la pratique de relations sexuelles, mêmes assorties «du petit bout de caoutchouc» s'apparente tout à fait «à la roulette russe, jouée avec neuf balles sur dix trous dans le barillet», affirme également cette étude. Selon le Dr. Johanès Lelkens, auteur de cette étude, quand on parle du virus du sida, dont la taille est 30 fois plus petite que la tête d'un spermatozoïde, le danger augmente notablement. Le virus HIV représente un minuscule disque de 0,1 micron de diamètre. Actuellement, les tests électroniques de perméabilité des préservatifs sont capables de localiser des trous d'un diamètre variant entre 10 et 12 microns. En d'autres termes, des orifices au travers desquels 100 virus pourraient passer de front. Qu'arrive-t-il aux trous plus petits ? Les tests ne les localisent tout simplement pas. En 1990, les professeurs G.B. Davis et L.W Schorceder («Journal of Testing and Evaluation») ont réalisé des orifices de 1 micron de diamètre (dix fois la taille du virus HIV) dans des préservatifs qui avaient subi avec succès les tests de contrôle. 90 d'entre-eux ont alors obtenu le même résultat satisfaisant lors de leur deuxième passage, comme si les trous n'existaient pas. Une expérience semblable, dirigée par R.F. Carey («Sexually Transmitted Diseases», 1992) a débouché sur des conclusions similaires. Mais il n'est même pas nécessaire de faire ces trous. Dans la plupart des cas, ils existent déjà . C'est en tout cas ce qu'a constaté C.M. Roland, du «Naval Research Laboratory» de Washington : «La surface des préservatifs laisse apparaître des cratères ayant un diamètre de 15 microns environ et une profondeur de 30 microns. Pire même, dans l'optique de la transmission du virus, nous avons découvert des canaux de 5 microns de diamètre qui traversaient la paroi de part en part». En d'autres termes, cela signifie qu'il existe des passages qui établissent un lien de communication entre l'intérieur et l'extérieur du préservatif, et dont le diamètre est 50 fois supérieur à celui du virus HIV Naturellement, la présence de trous par lesquels pourrait se faufiler le virus ne signifie pas nécessairement que cela arrive. La meilleure manière de vérifier le degré de sûreté qu'offrent réellement les préservatifs est une étude sur la fréquence de la transmission du virus chez les couples «HIV discordants», c'est-à -dire où l'un des deux est séropositif. Les résultats de la seule étude de ce type réalisée jusqu'à présent ont montré que l'usage du préservatif ne réduisait que de 69 % le risque de contracter le virus (Susan C. Weller «A Meta-Analysis of Condom effectiveness in reducing sexually transmitted HIV», 1993). Cela signifie que dans 31 % des cas, il existe un danger réel de contamination par le virus du sida, ce qui correspond au total des erreurs constatées sur les préservatifs testés. Ce risque, qui est déjà élevé par lui-même, augmente encore considérablement en cas de relations sexuelles différentes du coït vaginal, ou en cas de rapports multiples (European Study Group, 1989, publié dans le «British Médical Journal») Source : Sources Réussir votre Santé d'avril 1995 n°11 (p.20) |
Auteur: | Tovarich1917 [ 25 Jan 2006, 22:57 ] |
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Le truc, c'est qu'on a d'un côté une étude scientifique sérieuse et importante, de l'autre des types qui condamnent la capote rien que parce que c'est aussi (et d'abord, on l'oublie trop) un moyen de contraception et que ça titille leur morale catholique anti-baise. |
Auteur: | Morgan Kane [ 25 Jan 2006, 23:15 ] |
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Excuse moi DN , masi cettte argumentation qui est celle de l' église catholique est sujette à caution ... Réussir votre santé est lié à un truc plus ou moins US qui s' appelle arkos, et sur lequel je peine à trouver des infos fiables ... L' argument des trous microscopiques est particulièrement discutable dans la mesure où le préservatif est étanche à l' air et au sperme qui contient le virus. un autre site us donne des concluions différentes : http://www.fhi.org/fr/RH/Pubs/Network/v ... IVAIDS.htm ceci dit, il est recommandé d' utiliser deux préservatifs l' un sur l' autre ... accessoirement quand un couple utilise des préservatifs, il existe quand même des possibilités de transmission du virus par d' autres voies ... En tout état de cause, dire que le préservatif ne sert à rien ou presque est criminel ! |
Auteur: | Yves [ 25 Jan 2006, 23:29 ] |
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Je te conseille de te renseigner sur la Déclaration de Durban et sa réfutation surtout, qui permettent de comprendre que derrière tout ça, il y a surtout des histoires de gros sous... Ca fait froid dans le dos. |
Auteur: | Tovarich1917 [ 25 Jan 2006, 23:43 ] |
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De toute façon, fallacieuse ou pas, cette étude dit que le préservatif réduit quand même de 71% les chances d'attrapper le virus - et c'est déjà beaucoup. On est loin de "le préservatif ne sert à rien", quand même. |
Auteur: | Morgan Kane [ 25 Jan 2006, 23:49 ] |
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Désolé, mais nier sans preuve certaine le lien entree SIDA et VIH est aussi une histoire de politique et de gros sous ! La réfutation a été réfutée ...... |
Auteur: | Raphychou [ 26 Jan 2006, 01:09 ] |
Sujet du message: | |
Oh, mais je considère toujours que l'usage du préservatif est quasi obligatoire de nos jours... et que les catholiques qui le déconseillent sont limite des "collabos de la pestilence". |
Auteur: | squallgofsc [ 26 Jan 2006, 09:37 ] |
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lorsque tu a lancé cette histoire "d'éfficacité limité du préservatif", je me doutait que la source a laquelle tu t'abreuvais était puante. Merci d'avoir confirmé mon doute raphy. |
Auteur: | Raphychou [ 26 Jan 2006, 10:06 ] |
Sujet du message: | |
Squally... tu te sens bien ? Si tu as suivi convenablement tous les messages, tu devrais appréhender ce simple fait : ma source est tout ce qu'il y a de plus viable. Citer: L'étude faite par le Dr. Ing. José Giralt Gonzalez dans le N° 9 de «Réussir votre Santé» mettait en doute la fiabilité des préservatifs. Cet article n'a reçu, à ce jour, aucun démenti. Mieux encore, cette étude corrobore celle faite par le Dr. Johanès Lelkens, professeur d'anesthésiologie à l'université de Maastricht. Des scientifiques, tu considères ça comme une source d'informations "puante" ? Surtout que ce sont de vrais savants, pas de quelconques médicastres vendus au discours de l'Eglise Catholique. Et lire attentivement tous les sites mis en lien t'aurait permis par exemple de voir que même l'un des plus optimistes qui soient quant aux réussites du préservatif n'affirme pas que celui-ci est une barrière absolue quant à la transmission du virus. Citer: Réponse : Le rapport de NIH conclut que l'utilisation correcte et systématique du préservatif masculin en latex réduit la transmission du VIH/sida chez la femme et chez l'homme Réduit, hein. Pas empêche. Du même site : Citer: Question : Quelle réduction ont-ils trouvée du risque de transmission de la blennorragie et du VIH/sida ? Réponse : La méta-analyse de plusieurs études a révélé la baisse de 87 % du risque de transmission du VIH chez les utilisateurs systématiques du préservatif par rapport aux non-utilisateurs. Toutefois, trois des études les mieux conçues ont démontré que le taux d'infection par le VIH était inférieur à 1 % par an chez les individus qui utilisaient systématiquement cette méthode. Ces données constituent des preuves convaincantes que l'utilisation systématique du préservatif masculin en latex est une méthode efficace de prévention du VIH, soulignent les auteurs du rapport. En outre, des études associent le port du préservatif à une réduction du risque de blennorragie chez l'homme variant entre 49 % et 100 %, par rapport aux non-utilisateurs. Notons qu'ils ne fournissent pas le nombre des études ni le pourcentage d'études montrant des résultats nettement positifs. Ils pourraient parler d'une petite fraction d'entre elles que nous n'en saurions rien. Morgan Kane a écrit: Ces jeunes gens sont répugnants :
regardez ce qu' ils affichent : http://jc.nantes.free.fr/?page=Militer& ... i_veil.gif Ah oui, quand même. ![]() Détournement clair d'images, amalgame, insulte de génocide, je vois mal comment on pourrait faire pire. |
Auteur: | Halvorc [ 27 Jan 2006, 13:05 ] |
Sujet du message: | |
Morgan Kane a écrit: L' argument des trous microscopiques est particulièrement discutable dans la mesure où le préservatif est étanche à l' air et au sperme qui contient le virus.
... et aux ions, puisque les tests sont réalisés à partir de conduction électrique. |
Auteur: | L.I.F. [ 27 Jan 2006, 13:50 ] |
Sujet du message: | |
Pour confirmer l'utilité du préservatif malgré ces "sources", je tiens à rappeler que même si dans 30% des cas, il y aurait possibilité de passage à travers les défauts du préservatif, je tiens à rappeler que moins de 15 (ou 20) % des rapports non protégés avec un(e) SIDAïque entraînent une contamination, don, on se ramène à moins de 5 % de risques....si ce chiffre de 30% est correct. (J'avance cette statistique sur la transmission du SIDA d'une conférence à laquelle j'ai assisté il y a 1 mois, tenue par l'un des scientifiques français ayant découvert ce virus et gérant depuis l'un des principaux laboratoires de recherche concernant la lutte contre le SIDA. Si vous n'êtes toujours pas convaincus, dites vous aussi que si tous les rapports non protégés entraînaient une contamination, on serait bien au-delà du nombre actuel de contaminés en Afrique, puisque quelqu'un peut posséder le VIH sans SIDA pendant 10 ans, durant lesquels ils pourra contaminer pas mal de personnes sans s'en apercevoir.) |
Auteur: | Morgan Kane [ 27 Jan 2006, 15:13 ] |
Sujet du message: | Re: Les Jeunes Catholiques Nantais. |
DragonNoir a écrit: Point de détail, le préservatif ne réduit que de 70% les chances de transmission du VIH.
D'apres l' étude américaine officielle que je crois avoir cité plus faut, le préservatif en bon état et correctement utilisé ne laisse que 1% de chances de transmlission du virus par an ... Mais un rapport sexuel ouvre la voie à d' autres échanges que ceux pour lesquels le préservatif peut être utilisé ! |
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