Eltanin

Pourquoi ne pas revenir au passé ?

Je regarde la pluie tomber derrière la fenêtre, elle est si transparente que l?on pourrait toucher les gouttes d?eau qui suintent sur la vitre. Je pense à  elle, elle qui me manque tant?
Ce souvenir resté intacte après de si longues années, ce souvenir de ces moments passés avec?toi?
C?est si dur d?oublier le souvenir d?un être aimé, d?une personne nous ayant quittée?
Et ce mot, ce mot qui m?est si difficile de prononcer?
« Adieu », pourquoi ce mot m?a-t-il fait si mal ? Pourquoi me l?as-tu imposé ? J?ai voulu croire que rien ne changerait après cette parole, ce simple mot, juste deux syllabes qui pourtant, peuvent changer le court d?une vie?
Après ton départ, mon soleil ne brillait plus, ma vie était triste et le temps toujours pluvieux, comme aujourd?hui?
C?est un jour comme celui-ci que tu es parti, un jour mélancolique, comme toi?
Tu pleurais toutes les larmes de ton corps et tout ça, c?était de ma faute, parce que je n?avais rien compris, mais comment aurais-je pu connaître tes sentiments ? Tu ne m?en parlais pas, ou peu. Lorsque tu me l?as appris, ce fut d?abord un choc, nous étions depuis toujours inséparables, mais comme deux amants ? Puis tu m?as annoncé que tu m?aimais, que tu ne pouvais envisager une vie sans moi?
J?étais figée, je ne savais que répondre, mais toi tu as compris, c?est là  que tu m?as dis que tu partais le soir même. Tu m?as donné un doux baiser au coin des lèvres puis tu m?as dis « Adieu », de ta voix toujours suave et cristalline. Tu es parti dans le froid en claquant la porte?
Je regrette aujourd?hui de ne pas t?avoir répondu à  temps, de ne pas t?avoir retenue?
Laisse-moi donc te retrouver sous la pluie, te retenir la main et t?arrêter?
Deux jeunes filles s?embrassent sous la pluie?


Nos âmes s'entremêlent et nos destins se lient...

Je m'approchais de son visage quand soudain, il tourna la tête vers moi. Lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes, je me senti transportée par ce plaisir si doux que me donnait ce tendre baiser. A vrai dire, j'en rêvais de cet instant, j'espérais que sa bouche flurte avec la mienne l'espace d'un instant éphémère et intense, comme celui-ci. Je sentis sa main chaude sur ma joue. Il me regarda d'un air fragile et pur. Il m'embrassa et nos langues se mêlèrent, nos lèvres s'humidifièrent et nos corps se serrèrent. Je ne pouvais me décoller de cet ange si fascinant et si merveilleux qu'il était. Ses doigts glissèrent sur ma peau et la caressèrent, me donnant un doux frisson dans tout le corps. Je voudrais que l'on reste ainsi attaché pour une éternité...
Je t'aime...



Sublime, éphémère et si pure?

Je regarde le ciel aussi sombre que moi
Aucune lueur, aucune étoile en cette douce nuit
Personne, le silence, pas un souffle, pas une voix
Seule avec moi même, je ne peux que penser à  lui

Je pourrais presque sentir ses lèvres sur les miennes
La larme le long de ma joue n'est faite que de sang
Elle se recueille sur mes douces lèvres et je me mens
Espérant peut-être une délivrance à  ma peine

Je vois son visage, soudain mon coeur se déchire
Je revois cette nuit, sur mon visage, un sourire
La pureté de ses vers égale celle de son âme
Et ses mains sont plus tendres que la plus belle des femmes

Je me sentirais transportée d'un doux bonheur
Lorsqu'il m'emportera passer les plus belles portes
Je me mords la lèvre, soudain arrive une grande peur
Un mince filet de sang, la petite fleur est morte...


Au bord d'un gouffre sans fin...

Je ne peux décrire ce que je ressens à  cet instant précis...
Une grande horreur, un honte profonde et un sentiment de saltée...
Sale, c'est ça, je me sens sale. Comment ai-je pu croire en lui ? Comment ai-je fais pour fermer ainsi les yeux, pour ne rien voir venir ? Je me sens stupide, sans raison de vivre, je n'ai plus aucune parcelle de beauté, ma blancheur a été souillée, mon corps vierge a été maltraité, mes joues ont été marquées de plais imposées par mes larmes, ces larmes qu'il me fait dorénavant verser. Je mérite peut-être se qu'il m'arrive au fond, peut-être que tout ça n'était que pour me punir de ma naïveté. Désorientée, trahi, sali, les adjectifs sont nombreux mais pas assez pour décrire ma peine et mon angoisse. Serais-je assez forte pour mettre fin à  ma vie ? Je n'en sais absolument rien...cette lame de cutter que j'ai retrouvée pourrait avoir des allures de véritable amie...et dire que mon père m'a dit qu'il désirait me voir heureuse, qu'il ne voulait pas que je tombe sur le mauvais, qu'il ne voulait pas que ma première fois soit aussi tragique que la plupart des gamines de mon âge. Et dire que j'ai affirmé que l'on s'aimait, vraiment, que l'on prendrait toutes les précautions, que l'on serait sérieux, que nous y avions mûrement réfléchit...et dire que je me croyais. Pauvre inconsciente...pauvre innocente...pauvre enfant que je suis...je croyait ces belles paroles qu'il copiait collait à  d'autres tandis que je rêvais à  lui...je le croyais lorsqu'il disait que j'étais la seule qui comptait pour lui...j'ai eu confiance...j'ai perdue toute forme de dignité, je suis étrangère à  moi même, étrangère à  ma vie...peut-être cela veut-il dire qu'il faut qu'elle s'achève...peut-être cela veut-il dire qu'elle n'a plus de sens...l'amour était ma seule raison de vivre...va seule valeur, ma seule drogue, ma seule ambition...tout disparaît...tout s'effondre...je m'enfonce tel une jeune fille qui ne se réveillerais pas d'un sommeil apriorie inoffensif et doux. Je voudrais que cette nuit soit ma dernière nuit, je voudrais que cette jeune fille ce soit moi, je voudrais m'endormir dans cette torpeur, lâche et égoïste, je m'en irais fuyant ma vie, je ne souffrirais plus jamais, ma tête déposée sur mon oreiller, je rêverais à  un monde meilleur où jamais je ne connaîtrais la tromperie...
C'est peut-être un adieu, peut-être juste un au revoir, je suis encore plus lâche lorsque la mort me dévisage, peut-être que je n'arriverais pas à  la supplier de m'emporter...




Spleen

En ce soir de Janvier je me sens lasse...
Comment expliquer ?
Je me hais ? Y a-t-il un mot assez fort pour exprimer ma rage ? Ma haine ? Ma souffrance ?
J?ai envi de hurler, hurler à  la terre entière que j?ai envi de mourir, mais personne ne m?entendrait, sauf mon père qui est dans la pièce à  côté. Je ne hurlerai pas, je ne crierai pas car je ne sais pas si je saurais expliquer le pourquoi de mon cri de désespoir?
J?ai passé la porte, je me suis dévêtue, je suis entrée dans la douche et j?ai fais couler l?eau. Peut-être était-elle trop chaude, peut-être la chaleur m?est-elle montée à  la tête, je ne sais pas. Les gouttes ont vite mouillées mon corps et un mal immense a emplit mon esprit. Une peur, un haut-le-c?ur, une sueur froide, au fond je ne sais pas se qui m?a poussé à  mettre la main devant ma bouche pour retenir ce cris de terreur. Mes pensées se sont éparpillées, perdues et écoulées comme les gouttes suintant sur ma peau. Les larmes ne sont pas venues, juste ce hurlement étouffé, juste ces pleurs sans larme que fait un enfant qui n?a pas vraiment mal, juste des sanglots que je n?arrivais pas à  taire. J?ai ouvert la porte et le froid m?a enveloppé. Un tournis m?a prit mais s?est vite arrêté. Puis je me suis regardée dans cette glace, le noir de ma haine inscrit sous mes yeux, grelottante de froid dans un corps frêle et peu attirant. Je me suis regardée et la seule chose que m?a inspirée cette image fut le dégoût et le méprit. Enfin je me suis recroquevillée, refermée sur moi-même, sur cette personne que je déteste mais que je me dois de supporter si je veux garder ce peu de dignité que je me suis laissé. J?ai essayé, j?ai voulu voir si j?arrivais encore à  pleurer. Même ça j?ai oublié. J?ai oublié ce que ça faisait de sentir les larmes monter avec hâte aux yeux et dégringoler plus vite encore vers le calice de la bouche. Je l?ai oublié, comme mon dernier baiser. Je ne me souviens plus à  quand il remonte, mon dernier « vrai » baiser. A longtemps en tout cas, très longtemps je crois. Finalement j?ai ouvert mes bras, ne parvenant pas à  exprimer le dégoût et l?horreur que je m?infligeais, je décidai de me relever et de me conforter dans ses pensées, de les développer.
Me voilà  donc maintenant, écrivant les déboires d?une enfant perdue dans sa conscience et cherchant en vint à  se préserver, à  s?aimer. Je me déteste. Je n?ai plus la force de le dire, je dois l?écrire. Ce sentiment me pèse. Une lourdeur affreuse. Je comprends maintenant ce que veut dire Baudelaire lorsqu?il parle d?un ciel bas et lourd pesant comme un couvercle. Ma peine est indescriptible. Je ne sais même pas mettre des mots sur mes sentiments. Quelle stupidité. Je me mords les doigts pour retenir mon envi de les mutiler.
Je me demande encore comment cette pensé peut ne serait-ce que me traverser l?esprit. Au fond, comme eux j?ai peur, mais d?une peur différente. J?ai peur qu?il soit trop bien pour moi, que son envi de se tourner vers d?autres soit constante et qu?il puisse me quitter à  tout instant. Comme le monde est injuste. Pourquoi est-ce que je me sens si faible au point de me dégrader moralement ? Au point de me rabaisser à  longueur de temps ? Au point de me tuer par amour ? Pourquoi est-ce que je ne me sens pas forte et belle ? Pourquoi suis-je impuissante face à  lui ? La réponse est unique. La réponse est multiple. Ce langage est universel, la souffrance est connu de tous, plus ou moins forte mais elle existe. C?est pour cela que ma réponse sera brève. Même s?il ment, même s?il fait semblant, se qui me paraît inconcevable, je veux le garder près de moi. Qu?il dispose de moi comme il l?entendra, qu?il chérisse mon c?ur ou qu?il le piétine, mon sort sera le même, je souffrirai. Après tout?je l?aime?



Cet écrit que tu ne liras pas

Sur la table de nuit, un verre d?eau à  moitié bu, une lampe de chevet éteinte, quelques feuilles blanches et trois crayons de papier.
Dans l?obscurité, assise sur son lit, serrant un coussin dans ses bras, une jeune fille sanglote à  chaudes larmes. Elle pleure en souvenir de cette aventure déjà  terminée qu?elle aurait voulut ne jamais voir s?achever. Pourtant, elle l?est, elle est finie depuis quelques heures déjà . L?adolescente repense à  ce sourire qu?il lui faisait chaque fois qu?elle le voyait, à  ce regard que sans arrêt il lui lançait, ces moments qu?elle passait avec lui.
Elle l?aimait, elle l?aime toujours, pourtant, ensemble ils avaient décidés de tout arrêter cette relation qui, de toute façon, n?aboutirait nulle part, c?est ensemble qu?ils avaient décidé de la rompre.
Sa main s?approche doucement de la lampe, elle l?allume. C?est un éclairage tamisé qui laisse découvrir les murs vides de cette petite chambre triste. La jeune fille pose son coussin à  ses côtés, sèche soigneusement ses larmes avec l?intérieur de son poignet puis se munit d?une feuille vierge et d?un crayon. Elle écrit. Elle pose et soulève la mine de son outil si rapidement si limpidement que celui-ci sautille sur le papier tel une petite danseuse.
Son visage est mélancolique, ses yeux encore humides ont cessés de faire couler le long de ses magnifiques joues, les larmes dont le chemin a déjà  été tracé sur cette peau de pêche, ses lèvres quant à  elles sont rosées et douces mais leur beauté ne serait rien si cette larme s?avait pas suintée à  leur commissure.
Dérangée par un manque d?inspiration, elle s?arrête pour quelques instants de narrer sa triste histoire d?amour, puis saisit le verre d?eau, en boit une gorgée et s?en délecte telle d?une boisson fantastique et sucrée. Elle repose consciencieusement l?objet à  sa place puis pose la gomme de son crayon sur ses lèvres et se replonge dans son récit. Sa muse lui ayant sans aucun doute soufflé quelques mots, elle place délicatement la pointe de son crayon tout contre le papier : elle rédige.
Elle rédige ses peurs, ses douleurs, ses tristesses et ses pensées.
Elle souffre, elle souffre de cette relation si tôt terminée, elle se sent égoïste de vouloir qu?il lui reste, qu?ils soient ensemble sans voir leurs souffrances de cette absence mutuelle puisque ils sont si loin l?un de l?autre.
C?est avant tout pour ça qu?ils ont rompu, pour ne plus souffrir du manque de l?autre. Après tout, leur relation était compliquée et trop dure, c?est peut-être mieux ainsi?
Elle ferme les yeux, une larme tombe sur le papier, rien que d?y repenser, elle a mal, de se souvenir qu?il y a quelques jours, ses lèvres embrassaient les siennes et qu?il posait sa main contre sa joue pour la caresser lui fait si mal, qu?elle sent son c?ur se serrer. Ses mains sont froides et elle ne sait plus quoi penser lorsqu?elle le voit, entends son souffle ou lit une de ses lettres, c?est dure pour elle.
De sa main droite, elle signe l?ouvrage qu?elle vient d?achever, de ses deux mains, elle plie le papier.
Elle regarde la lune par la fenêtre et fait le veux de ne plus souffrir et d?être heureuse, puis, étain la lumière et s?endort pour aller au pays des rêves, le plus beau du monde, le pays où on ne peut pas pleurer et où tout le monde rit, le pays que personne n?aimerait quitter.
Là , tapis dans l?ombre, elle sommeil. Une lueur presque inexistante éclaire la main de la jeune fille, cette main froide qui tient entre ses doigts, ce courrier qu?elle n?enverra jamais ?



Besoin d?écrire

Dis Vincent...c'est quand que je parts ?
Pas maintenant ? Pourquoi, dis ? Pourquoi que je pourrais pas courir jusqu'au bout du sentier fleuri ? Trop jeune ? On m'aime ?...Nan...tu mens...

Vincent, j'm'excuse d'avoir été aussi gamine avec toi hier, j't'ai fais très peur et je prenais tout à  la légère. Pardonne-moi.

Vincent, j'étais trop fatiguée pour faire mon anglais hier, et mon graphique pour l'exercice de maths laisse à  désirer. Il était tard. Je sais que tu voulais que je dorme. J'ai pas pu aller me coucher parce que je devais faire mes devoirs. En plus j'ai plus le courage de travailler, j'en ai perdu l'envi. Si mes notes elles chutent ce sera grave et tout le monde aura peur et me demandera s'que j'ai, j'veux pas que ça arrive, mais j'veux plus travailler. Tu m'pardonnes dis ?

Vincent, hier soir j'ai pas eu la force d'y penser. J'ai pas eu la force de mettre de l'ordre dans mes idées. J'avais un terrible mal de ventre parce que je n'avais rien mangé. Et j'essayais de penser à  ce dont on avait parlé. Mais j'ai pas eu la force tu comprends ? Je me suis endormie et ce matin je ne ressens absolument rien. J'ai juste un vague souvenir de mes pleurs et du sang. J'veux pas m'en souvenir. C'est trop dure tu comprends ? Et puis sous le pansement ça fait plus mal, c'est passé. Et puis mon coeur il fait plus mal, ça s'est arrêté. Tu sais, je crois que les idées elles ont pas été éclaircies, elles sont juste caché dans un coin de ma tête, toutes mélangées et ça fait comme une pelote de laine. J'aime pas le tricot. Je démêlerai pas cette pelote. Qu'elle reste comme elle est et que je l'oubli. Tu m'pardonnes dis ?

Vincent, tu sais très bien que ce voyage je le ferai de toute façon, j'en rêve depuis des mois, j'vais pas le laisser tomber maintenant. Même si comme tu dis il se servait de moi, si je pouvais ne serait-ce qu'un instant être heureuse dans ses bras, je crois que ça vaut le coup. Tout s'que j'veux c'est que la poupée on la chérisse, même un p'tit, tout p'tit moment, même si c'est pour la jeter après. Quatre jours de bonheur, j'peux pas les avoir ces quatre jours de bonheur ? Je sais que ça tu me le pardonneras pas...

Vincent, t'es vraiment un ami, mais si tu me pardonne pas je te comprendrai, chuis pas rancunière, peut-être même pas assez...

Je t'aime fort, mais lui je l'aime...plus que tout.



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Vincent, j'étais trop fatiguée pour faire mon anglais hier, et mon graphique pour l'exercice de maths laisse à  désirer. Il était tard. Je sais que tu voulais que je dorme. J'ai pas pu aller me coucher parce que je devais faire mes devoirs. En plus j'ai plus le courage de travailler, j'en ai perdu l'envi. Si mes notes elles chutent ce sera grave et tout le monde aura peur et me demandera s'que j'ai, j'veux pas que ça arrive, mais j'veux plus travailler. Tu m'pardonnes dis ?

Je ne peux décrire ce que je ressens à  cet instant précis...
Une grande horreur, un honte profonde et un sentiment de saltée...
Sale, c'est ça, je me sens sale. Comment ai-je pu croire en lui ? Comment ai-je fais pour fermer ainsi les yeux, pour ne rien voir venir ? Je me sens stupide, sans raison de vivre, je n'ai plus aucune parcelle de beauté, ma blancheur a été souillée, mon corps vierge a été maltraité, mes joues ont été marquées de plais imposées par mes larmes, ces larmes qu'il me fait dorénavant verser. Je mérite peut-être se qu'il m'arrive au fond, peut-être que tout ça n'était que pour me punir de ma naïveté. Désorientée, trahi, sali, les adjectifs sont nombreux mais pas assez pour décrire ma peine et mon angoisse. Serais-je assez forte pour mettre fin à  ma vie ? Je n'en sais absolument rien...cette lame de cutter que j'ai retrouvée pourrait avoir des allures de véritable amie...

Me voilà  donc maintenant, écrivant les déboires d?une enfant perdue dans sa conscience et cherchant en vint à  se préserver, à  s?aimer. Je me déteste. Je n?ai plus la force de le dire, je dois l?écrire. Ce sentiment me pèse. Une lourdeur affreuse. Je comprends maintenant ce que veut dire Baudelaire lorsqu?il parle d?un ciel bas et lourd pesant comme un couvercle. Ma peine est indescriptible. Je ne sais même pas mettre des mots sur mes sentiments. Quelle stupidité. Je me mords les doigts pour retenir mon envi de les mutiler.

Rt puis ces passage-la ca pose probléme. La, le drame c'est juste "Ouin j'arrive plus a faire mes devoirs ouin!!!!!!".